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Compagnie théâtraleLes Oreilles à bosse |
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Compagnie théâtraleLes Oreilles à bosse |
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Février 2002 à Nürtingen (Allemagne) :
"Les pas perdus" de Denise Bonal, mise en scène de Hervé Hartmann et
Frédérik Ferrer
Lire l'article (en allemand)
Décembre 2002, Oullins : Accueil de
Die sieben Schubladen
(Les sept tiroirs)
Un spectacle en langue allemande
créé et interprété par la compagnie
"Die Obskuren" de Nürtingen
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7 Schubladen Schublade auf. Das Leben beginnt. Schublade zu. 7 Jahre sind vorbei. Tür auf. Tür zu. Die Türen fliegen. 7 Schubladen fliegen. Das Leben fliegt. Auf und zu. Da! Ein Vogel! Der Vogel fliegt. Mund zu. Mund auf. Die Worte fliegen heraus. Gesagt. Getan. Die Worte Kehren zurück. Mund auf! Die Worte schlucken! Mund halten! Das Glöckchen klingt. Der Bissen bleibt stecken. Der Vogel verstummt. Kaum ist das Leben zuende, beginnt es von neuen. Schublade auf. Der Inhalt heraus. Zerrissen und verstreut. Die Fetzen fliegen. Das Herz lacht. Und fliegt. Der Vogel fliegt und fliegt und singt und singt… |
7 tiroirs. Tiroir ouvert. La vie commence. Tiroirs fermés, 7 années ont passé. Porte ouverte. Porte fermée. Les portes volent. 7 tiroirs volent. La vie vole. Ouverte et fermée. Là ! Un oiseau ! L’oiseau vole. Bouche fermée. Bouche ouverte. Les mots s’envolent. Dites. Faites. Les mots retournent. Bouche ouverte ! Avale les mots ! La ferme ! La clochette sonne. La bouchée reste dans la gorge. L’oiseau se tait. La vie, à peine terminée, commence à nouveau. Tiroir ouvert. Contenu dehors. Déchiré et distrait. Les chiffons s’envolent. Le cœur rit et vole. L’oiseau vole et vole et chante et chante… |
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Die Theatergruppe "Die Obskuren" hat Lebenstationen von Kindheit bis Alter in märchenhafte Bildfolgen verwandelt. Szenen von Tun und Unterlassen, von Sagen und Verschweigen, von Ende und Neubeginn. Geschichten von zerrissenen Briefen, singenden Vögeln und fliegenden Herzen. |
La compagnie Die Obskuren a transposé les étapes de la vie, de l’enfance à la vieillesse, en séquences d’images fabuleuses, scènes de faits et gestes, de paroles et de silences, de fin et de renouveau. Contes de lettres déchirées, oiseaux qui chantent et cœurs qui volent. |